waouh les grands espaces !
jauraisvoulu#etrastronaute !!!

SB 666
Le chiffre 666, loin d'être simplement un symbole de malheur ou de négativité, porte en lui des leçons profondes sur l'équilibre, la transformation et la foi. Dans tous les contextes, il sert de rappel puissant de la dualité inhérente à l'expérience humaine et de notre quête éternelle d'équilibre et de signification.
Le nombre 666 apparait pour la première fois comme nombre de la bête dans la bible, au niveau du livre de l'apocalypse 13:18. C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six.

C'est le diable, dit mon fils aîné
il a choisi ce nombre pour ses courses de moto.

Intéressant sur 666 Agathe.
Oui j'aurais voulu être astronaute pour pouvoir rencontrer des extraterrestres et discuter avec eux.

Super Inuit

Stock:

Cicine.
Couturière est tout un art aussi.
Jolie ta créa.

Ah oui Kate! Bien vue.
Jolie.

Ce que je regrette, c'est que l'effet rayure que j'ai fait ne se voit pas

Peut-être de trouver des rayures semblables et les incruster

Non, c'est moi qui n'ai pas réfléchi que certaines choses ne sont pas visibles sur les petits formats... pour le fun, j'ai doublé en 1000px et je l'ai mis dans ma galerie

Oui, j'ai vu.

Sympas vos créas !
Néanmoins, cela me fait de la peine de constater que personne n'a finalement rempli sa vie avec le métier de ses rêves.
Je suppose que c'est pour ça que je suis passionnée par mon métier et que je fais vraiment aujourd'hui ce que j'ai envie de faire : aider les gens jeunes et moins jeunes à trouver leur équilibre de vie, à construire leur bonheur, à croire en eux, à se débarrasser de leurs croyances limitantes pour réaliser leurs rêves, leurs projets, etc ....

Mahhona a écrit:

Néanmoins, cela me fait de la peine de constater que personne n'a finalement rempli sa vie avec le métier de ses rêves.

Perso, j'aime bien mon travail au lycée mais secrétaire d'intendance n'est pas un "métier" que j'aurais réussi à illustrer.
Si j'avais du changer d'orientation professionnelle, c'est infographiste que j'aurai choisi
Mais je n'ai jamais franchi le pas pour tout lâcher et recommencer... Trop d'incertitudes sur les résultats

Mahhona, Je n'ai pas pu faire, pour plusieurs raisons, mon métier de rêve.
J'en ai plusieurs: écrivain, archéologue, astronaute en premier.
Qui sont, si l'on regarde bien, liés. Ils apportent de la connaissance.
Pour des gens, comme toi, qui vivent leur passion et travail, je soulève mon chapeau.
Car à la fin de ta journée, même fatigante, il doit avoir une sensation d'accompli et de satisfaction.
Je te rejoins quand tu dis que les gens doivent sauter le pas.
Ce que tu aides les gens à faire, en leur aidant de voir leurs possibilités et de trouver les outils pour s'épanouir.
Kate, ce n'est jamais trop tard, il suffit de vouloir.
Certes ton travail te donne de la sécurité et une rentrée stable tous les mois.
Mais ce n'est pas ta passion qui est enfouit en toi.

... oui mais cette rentrée stable d’argent tous les mois, on en a bien besoin ... surtout qu'il faut payer pour l'appart d'Audrey, ses abonnements, ses courses...
Et pour changer d'orientation, non seulement, il faudrait que je démissionne mais en plus que je paie pour une formation donc ça restera dans le domaine du rêve

Oui il est évident que les besoins de tous les jours prennent le dessus.
Mais ne pourrais tu pas faire une formation en ligne hors tes heures du travail?
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formation infographie gratuite en ligne:

Je ne suis pas sûre que ces formations soient reconnues et diplômantes

En plus, je n'ai pas vraiment le temps pour une formation après le boulot, je rentre vers 18h00 et il y a aussi des stages à faire et ça je ne pourrais pas.

J'ai failli en 2009 prendre un congé de formation pour ne plus avoir affaire à une chef incompétente (on l'avait sortie d'un placard pour remplacer une cheffe compétente qui était partie) et j'avais regardé pour les formations sur Angoulême et puis j'ai appris qu'elle partait à la retraite ... j'ai donc laissé tomber l'idée

Bah, je ferai ça dans ma prochaine vie

Jolie vos créas
pareil quand j'étais plus jeune je pensais a etre secrétaire mais pour plusieurs raisons je n'ai pas pu je me suis retrouvé en usine a 16 ans

Cicine.
Oui Cicine, c'est selon les aléas de la vie.
Quand j'étais jeune, la marâtre ne voulait pas que je prolonge ma scolarité au-delà du troisième.
Pourtant beaucoup de mes profs voulaient que je continue.
Je devais, selon "ses désires", aller bosser à la mine comme mineur de fond.
Il va sans dire que j'ai refusé.
On sait depuis ce qui est arrivé aux mines charbonnières en Angleterre.

Je suis d'accord que la vie ne nous laisse pas toujours le choix au début. Mais on n'est jamais obligé de rester ensuite toute sa vie dans ce qui ne nous convient pas.
La France a beaucoup de défauts, mais elle permet des reconversions. Il y a plusieurs possibilités, malheureusement rarement connues des salariés.
Par exemple, commencer par faire un bilan de compétences. C'est un droit pour tout salarié, c'est financé par l'OPCA du secteur d'activité et aucun patron ne peut s'y opposer. Si un patron refuse que ce soit fait pendant le temps  de travail, on peut le faire hors de son temps de travail, et dans ce cas, on peut même ne pas en avertir son patron.
Ce bilan permet de faire le point sur son expérience professionnelle et sur ses projets à venir. A la fin, un plan d'action est mis en place pour valider ce projet, et, si cela passe par une formation, celle-ci peut également être financée par l'OPCA ou le CPF. Il existe toujours des solutions, à moindre frais, et en maitrisant les risques.

Exemple perso : mon conjoint qui était dans un boulot qu'il n'aimait pas depuis l'âge de 16 ans, dans la même entreprise depuis tout ce temps, et dans un environnement toxique en terme de relation avec l'équipe. Le voyant se diriger lentement mais sûrement vers un burn-out, j'ai réussi à le convaincre de faire une rupture conventionnelle.  Après 8 mois de chômage, en discutant avec une relation de jeu de rôle (sa passion), il apprend que la maison d'édition dans laquelle bosse cette personne cherche à embaucher un chargé de communication. Fred lui dit qu'il n'y connait rien dans ce métier (il était cordonnier avant) et elle lui dit : "notre patron s'en fiche, il cherche juste des gens motivés qui ont envie de faire partie de l'aventure avec nous. Pour le reste, toute l'équipe te formera". Et voilà. Aujourd'hui il bosse dans sa passion, entouré d'une super équipe, et découvre enfin les joies de bosser dans de bonnes conditions, avec une équipe géniale et un patron centré sur l'humain.

Et avant d'être coach et hypno, j'ai réalisé de nombreux bilans de compétences et permis à de nombreuses personnes d'accéder enfin à des métiers qui leur permettaient de se réaliser pleinement, le tout avec des risques calculés et tous frais payés.

Inuit a raison, il n'est jamais trop tard  J'ai le souvenir d'un groupe de personnes handicapées que j'animais il y a une trentaine d'années : dans le groupe, il y avait un gars de plus de 50 ans, peintre en bâtiment toute sa vie, et qui avait le dos cassé. Il pensait que c'était foutu pour lui, à son âge, trop tard, jamais fait autre chose que peintre en bâtiment, etc..
Il a fait un stage dans une entreprise qui fait travailler les personnes avec un handicap mental, dans l'encadrement des équipes. Il a eu une révélation. Il m'a dit que pour la première fois de sa vie, il se levait le matin avec une énergie de dingue et une super motivation. Il a suivi la formation de deux ans, a été embauché dans la foulée et a été le plus heureux des hommes jusqu'à sa retraite

Et comme le souligne Inuit, aujourd'hui il existe de nombreuses formations en ligne gratuites, des MOOC, qui permettent d'acquérir des compétences que l'on peut ensuite mettre en avant pour une embauche.

Le cerveau est très doué pour rationaliser un choix qui ne nous convient plus. Il va trouver mille excuses pour nous pousser à ne pas changer car il préfère rester dans quelque chose de sûr et de rassurant, même si ce n'est pas très agréable, plutôt que de prendre des risques sur un changement trop aléatoire. Et c'est à nous de reprendre les choses en main et de convaincre notre cerveau d'aller dans la direction que l'on choisit, et pas forcément celle que lui pense être la meilleure pour nous  

Bref, il ne faut jamais oublier ses rêves, si on ne peut plus les réaliser complètement, on peut toujours trouver le moyen d'en réaliser une partie pour retrouver l'énergie qui nous fait vibrer, qui nous apporte de l'équilibre, de la passion, du plaisir, etc ...

Mahhona, un message plein de bon sens que souvent nous oublions.
Aussi bien que nos droits envers des formations.
Il est vrai que beaucoup entre nous, et pas seulement ici sur MAEM mais dans la vie en générale, se contentent de ce qu'ils ont et ce qu'ils savent.
Tu as donné deux très bons exemples de personnes qui ont changé radicalement leur vie en acceptant de changer de métier. Que si elles n'aient pas pris ce pas, seraient restés en voie de garage tout le reste de leur vie, avec des conséquences mentales et physiques qui en suivent.
Pour les conversions en France. Je dois dire merci à la France qui m'a permit d'apprendre d'autre chose.
Cette chance je ne l'aurais jamais eu en Angleterre. Surtout dans les mêmes conditions dont j'ai bénéficié.

le métier de mes rêves d'enfant, c'était de devenir coiffeuse.
Ma mère m'en a dissaudée, trop dur, fatigant pour les jambes, patati patata...
j'ai au final exercé mon métier de comptable (et secrétariat ) dans la joie la plus totale, je suis comme un poisson dans l'eau dès que je tiens à jour mon budget, mes comptes, mes courriers, etc : je ne vois pas le temps passer !

mais faire une créa de bigoudis et engins de tortures pour permanentes, ça vous aurait effrayés !

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Alors, j'ai fait une créa sur les visagistes, ça va de pair avec mon rêve d'enfant.